lundi 1 décembre 2014

BONNE ADRESSE COIFFURE • World Hair Beauty à Toulouse

À mon arrivée sur Toulouse, j'avais du mal à me faire à l'idée que j'allais devoir trouver un autre salon de coiffure afro, qui respecterait mes cheveux autant que mon porte-poney. Et oui, ça fait presque  7 ans que j'ai le même coiffeur, je lui suis restée fidèle même lorsque j'en ressortais mécontente. Sauf qu'aujourd'hui, j'ai passé le pas, je me suis enfin libérée de cette emprise ! Les noeuds, voilà ce qui m'a décidée à pousser la porte de World Hair Beauty. Allez,  je vous dis tout ! (Je vous épargne les photos avant/après, Halloween c'est fini haha) 

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Tout d'abord, petit bilan capillaire (ça faisait longtemps, tiens !) 
Depuis presque 1 an maintenant, je privilégie des gammes de produits moins chers mais plus sains (je pense ?) pour mes cheveux. J'ai mis en place une routine capillaire hebdomadaire, qui comporte un bain d'huile, un shampoing, un après-shampoing et un soin. Le lisseur soufflant est toujours présent, mais j'utilise des protecteurs de chaleur pour limiter la casse. Et je peux vous dire que oui, malgré le lisseur soufflant, mes cheveux ont poussé, et pas qu'un peu (à mon échelle, ça relèverait presque du miracle ahah).
Mon dernier défrisage date d'Août, lors de mon dernier voyage sur Paris. Ça fait donc environ 4 mois que mes cheveux n'ont rien subit et ils commençaient à me le faire payer : noeuds, textures impossibles, difficultés de coiffage. Toutes les joies du monde capillaire ! D'autant plus que le froid commence à se faire sentir *Winter is coming*, il était donc temps d'agir, sinon, bonjour la casse!

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Après avoir  visité le site Internet de World Hair Beauty et fait le tour des avis sur ce salon, et je m'y suis rendue. Temps maussade, gens qui sentent mauvais dans le métro et pull de grand-mère bien chaud, un lundi comme un autre. 

14h15  - Je pousse la porte d'entrée, la chaleur m'enveloppe, la musique africaine retentit dans le salon, et une coiffeuse conseille une jeune femme.  Je lui explique que je voudrais un défrisage assez doux. 
J'attends. Longtemps. Tout comme la jeune fille. Il y a deux coiffeuses, et deux clientes en train de se faire chouchouter. L'une d'entre elles me propose une boisson chaude, thé ou café ? Dans l'entrée de la boutique, une multitude de mèches de cheveux et tissages sont accrochés aux murs. Il y en à pour tous les goûts et pour toutes les bourses : Blonds, bouclés, cuivrés, lisses, brésiliens, naturels, synthétiques, de 5 à 135 euros. Les enceintes crachent du Magic System, ce qui me donne envie de m'enjailler sévère. 

15h15 - À mon tour ! La coiffeuse m'explique que le salon utilise les produits Avlon KeraCare, et que pour 65 euros, elle me fait le défrisage, le soin, le shampoing et le coiffage. Elle m'applique le défrisage, mais lorsque je lui dis "ça pique", elle continue de l'appliquer, alors qu'il faudrait aller rincer le produit sans attendre : c'est en train d'attaquer le cuir chevelu, et c'est jamais bon signe ! 
Après m'avoir demandé au moins 5 fois " vous en êtes sûre que ça pique ? Où ça ? " elle me rince enfin la tête, m'applique le soin, le shampoing, et tout ça, sur un fauteuil massant. Sympa ! 
Elle me coiffe en 2 temps : Brushing, suivi d'un lissage aux plaques. Je n'ai jamais vu mes cheveux aussi souples ! Elle ne m'a pas coupé les cheveux, je ne lui ai pas demandé, et c'est très bien ! Pour ce qui est de la "coiffure" finale, elle était très fidèle à ma coupe de cheveux quotidienne et j'en étais plutôt satisfaite ! Par contre, je ne sais pas si elle a utilisé un protecteur de chaleur, elle n'expliquait pas vraiment ce qu'elle faisait avec ma tignasse...

17h - Je sors du salon. En rentrant chez moi, j'ai pu réellement admirer le résultat: des cheveux lisses, qui semblent être en bonne santé, une douce odeur florale (ça change de l'odeur d'oeuf en sortant de chez mon coiffeur Parisien), des cheveux qui n'ont pas l'air abîmés. Malgré quelques petites choses qui m'ont faite tiquée, le résultat est là : mes cheveux sont défrisés et j'en suis contente ! Je retournerais dans ce salon et je le recommanderais :)

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Durant une grande partie de l'après-midi, une dame se faisait poser un tissage, et lorsque j'ai vu le résultat, j'ai commencé à changer d'avis par rapport au port (rapport au porc ! mouarf mouarf) de coiffures protectrices. J'explique : OK, je veux bien protéger mes cheveux, mais je ne veux pas me retrouver face au miroir, avec des cheveux qui ne sont pas les miens, une coupe qui me déplait et que ça fasse "faux". Sauf que sur la dame, c'était très beau, je dirait presque parfait. On sait que ce ne sont pas ses vrais cheveux, mais cela faisait plutôt naturel. La couleur, la texture et la coupe étaient en très bon accord avec sa couleur de peau et son visage. "Des mèches brésiliennes, vrais cheveux humains", 135 euros. Ah. Bon. Bah... Oh bah non. Pour le moment mes "vrais cheveux antillais humains" me conviennent assez bien. 

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TOP : 
-Le résultat du défrisage, 
-Le large choix de tissages et mèches
-La minutie des coiffeuses
-Pas de prise de rendez-vous 
-Situé juste à côté du métro St Cyprien (Métro A)
-Prix très corrects
-Petite boisson chaude offerte
-Le fauteuil massant

FLOP :
-La froideur de l'accueil et des coiffeuses en général
-Le salon est un peu en fouilli...
-La coiffeuse n'explique pas ce qu'elle fait et avec quoi
-L'attente.. SANS MAGAZINES PEOPLE ! (guilty pleasure...)




World Hair Beauty

05 61 72 98 06 
13 Bis pl. Intérieure Saint Cyprien 
31300 Toulouse

♫ Ce qui m'a accompagnée durant cet article : 
Le RnB des années 2000 de  Craig David
La pop mélancolique de London Grammar avec "If you wait"








mercredi 12 novembre 2014

OOTD • "Open mind and be Yourself"

L'Automne est bel et bien installé, et c'est pour moi l'occasion d'inaugurer une toute nouvelle rubrique sur le blog : la tenue du jour (littéralement "outfit of the day" en anglais, abrévié par OOTD). 

Je suis vraiment contente de poster ce look, ça faisait des mois que je voulais faire un article sur ce que je porte au quotidien, mais je ne savais pas réellement comment m'y prendre... Enfin bref, après des semaines d'hésitations et surtout de "il faudrait que je poste un nouvel article.." ÇA Y EST ! 


Étant donné que c'est mon premier OOTD, les photos ne sont pas forcément à la hauteur de ce que j'espérais, mais je compte bien m'améliorer, niveau cadrages, netteté etc...


Ne nous égarons pas, je vous parle à présent de ma tenue. Enjoy ! :)






Skinny, baskets, veste en similicuir et sac à main, le tout en contrastes voici le look qui représente le plus ce que je porte au quotidien : simple, confortable, noir et blanc !




Pour ce qui est de la veste similicuir, elle vient de chez Pimkie, je l'adore, elle va avec tout ce que je porte, et donne du caractère à une tenue un peu trop sage.
Je l'ai doublée avec un hoodie Criminal Damage, qui commence à fatiguer : il ne ferme plus, et est tout délavé, mais je l'aime quand même 






Le skinny vient de chez Bershka, un petit basique noir, on s'y sent bien, et j'me mets bien !


Ah ce t-shirt... S'il y a bien une pièce que je porterais tout le temps c'est celle-ci! Déniché lui aussi chez Bershka l'hiver dernier, je l'ai trouvé en dans un recoin caché du magasin, une bien jolie surprise. La phrase "Open mind and be yourself" représente un peu ma façon de penser, être tolérante, et surtout rester soi-même. La typo qui reprend le logo de Metallica m'a tout de suite plu, on peut dire que ce n'est pas commun ! 








Le sac à main en similicuir, toujours dans l'esprit de la tenue, et noir qui plus est. Il vient de chez Pimkie une fois de plus, et pour pas cher, il remplit sa fonction première : transporter tout mon petit bordel. En plus, il peut se mettre en bandoulière !








Finissons par les chaussures ! Sk8-Hi Wedge de chez Vans, je vous en parlais dans un article passé, et bien les voici portées :)


Veste similicuir - PIMKIE
Hoodie - CRIMINAL DAMAGE
T Shirt - BERSHKA
Skinny - BERSHKA
Baskets montantes - VANS
Sac - PIMKIE
RàL : Dare You - M.A.C

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✿ Je vous dis à bientôt, restez bien au chaud et profitez des quelques rayons de soleil ! 

♫ Ce qui m'a accompagnée durant cet article : 
Le rock anglais de The 1975

La pop mélancolique de London Grammar avec "If you wait"

samedi 4 octobre 2014

HUMEURS • Année sabbatique, le bilan

Bonjour ! J'espère que votre rentrée s'est bien passée, et que vous avez bien profité des derniers jours d'été. En parlant de rentrée, je me souviens qu'il y a un an, jour pour jour, je n'avais ni école, ni formation, ni travail, mais des objectifs à atteindre. Je vous en ai parlé dans le tout premier article, et c'est d'ailleurs ça (et ma meilleure amie) qui m'a poussée à créer ce blog.


Mais qu'ai-je fais durant cette année ? Etait-ce réellement nécessaire ?
 Retour sur une année "sabbatique" et ce qu'elle m'a apporté, ou non. 

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Alors nous y voilà, le 5 septembre 2013 dans ma chambre, en Picardie. Tandis que les messages de rentrée défilent sur mon fil d'actualités Facebook, moi je n'ai rien à écrire, à part "bon courage, pense aux vacances !" Pour beaucoup ma pause dans mes études s'apparentait à des vacances d'un an... Ce fut quelques fois vrai. Car oui, j'ai pris du temps pour moi, ma famille et mes amis. J'ai surtout pris du temps à savoir ce que je voulais faire, et comment j'allais le faire. 
Au départ, mon année était surtout une facon de dire  STOOOP ! Après 5 années d'études artistiques qui m'avaient menées presque à bout, j'avais besoin de me poser, et de retravailler mon book, afin d'entrer dans des écoles d'arts appliqués.
Cependant, le niveau en public est très élevé et les prix en privé sont souvent exhorbitants. Je voulais me donner toutes les chances de combler mes lacunes techniques et artistiques pour présenter le meilleur book possible et entrer dans l'école de mon choix. 
J'avais donc établi un emploi du temps de révisions et d'ateliers artistiques. Au programme ? Ré-étude de la couleur, reprises des bases sur Photoshop, expositions, photographie.. Bref, un book béton, ça se travaille. J'avais acheté des livres pour avoir un réel apport théorique, et une base de"cours". 




En parallèle de ça, je m'étais (re) lancée pour la deuxième fois  dans l'obtention du code et du permis. Alors chaque après-midi, de 14h à 17h, j'étais dans la salle de code, déterminée comme jamais, quitte à finir abrutie. Levée à 9h, j'étudiais le matin et je codais l'après-midi. Voilà à quoi ressemblaient mes journées. Jusqu'au jour où, j'étais sur Facebook, et par curiosité, j'ai voulu découvrir l'école d'un ami. 

L' "ISCOM", je savais qu'on y étudiait la communication, mais pas la publicité. J'ai lu leurs programmes, et ça m'a tout de suite plu. Je me suis mise en quête de trouver d'autres écoles qui proposaient le même genre de cursus : de la comm', du marketing, un peu de créativité, les relations humaines et surtout de la PUBLICITÉ ! Plus je lisais les descriptifs de formation, plus mes yeux brillaient. J'avais (re)trouvé ma voie. Car oui, au départ, je voulais travailler dans la pub, sans domaine particulier. Je me suis dirigée vers le graphisme parce que c'était la suite logique des études d'arts appliqués, et aussi parce que je trouvais ça intéressant et je me voyais bien là-dedans ! 
Mais voilà, la publicité est la fille du marketing, et ces deux univers englobent tout ce que j'aime : comprendre les gens, l'art allié à la stratégie. Ce domaine à plus de débouchés que le graphisme, et surtout, je pensais avoir les compétences requises pour prétendre devenir "conceptrice-rédactrice". 
Késako ? C'est tout simplement la personne qui s'occupe de trouver les concepts, les mots et les scénarios dans une campagne publicitaire (en gros). J'en parle à ma mère, qui semble emballée par l'idée, et qui me pousse à tenter les concours des différentes écoles. ISEG, Sup de Pub, ISCOM et j'en passe. Sauf que les prix sont très élevés, et les plus proches sont celles de Paris. Non merci, j'ai déjà donné. Ah tiens, l'ISCOM est présente aussi à Toulouse, ça tombe bien, mon amoureux habite là bas. Dès lors, je me renseigne sur les dates, contenus et lieux de concours. Mon premier choix était Toulouse, car c'était l'école la moins chère et j'y avais déjà un pied à terre. 


Ô Toulouse !


De septembre à janvier, j'ai fais beaucoup d'allers-retours Paris-Toulouse, mais j'en profitais aussi pour rattraper mon niveau sur Photoshop et dessiner un petit peu. J'ai fais quelques expos, et enfin en octobre, j'ai eu mon code. Première victoire. J'en ai pleuré de joie, et je continuais sur ma lancée. Prochain objectif : avoir le concours de l'ISCOM. 
C'est à ce moment là que j'ai commencé à prendre des cours d'anglais dans le but de passer le TOEIC, une certification de niveau d'anglais professionnel. Je voulais ainsi maintenir mon niveau d'anglais et, dans le cadre d'un futur stage à l'étranger, ajouter cela à mon CV. 

En janvier 2014, j'ai su que j'étais reçue à l'ISCOM, dans la filière Marketing Publicité. Ma joie était immense, j'avais encore atteint un objectif, celui qui clouerait le bec à ceux pensant "après une année sabbatique, c'est difficile de reprendre les études". Ahah, je leur ris au nez à présent. J'ai aussi essayé de chercher un petit boulot pour mettre un peu d'argent de côté, mais aucune réponse négative ou positive...

En avril, j'ai passé le TOEIC, après presque 6 mois de préparation et avec la boule au ventre, pensant avoir fait un score en deçà des tests  blancs que j'avais passés. Et bien j'ai obtenu un score dont je suis assez fière : 890 points sur 990. D'après le barême j'ai une "compétence avancée en anglais". 

Parallèlement à tout cela, j'avais commencé la conduite supervisée. C'est le même principe que la conduite accompagnée, mais pour les majeurs. Comme j'avais quelques lacunes en conduite, et que payer chaque cours était très onéreux, j'ai opté pour cette option. Je pouvais progresser à mon rythme, pendant minimum 3 mois et maximum 1 an. Entre temps, en mai, j'ai trouvé mon appartement sur Toulouse. Tout se passait donc pour le mieux, à part quelques problèmes familiaux qui devenaient de plus en plus envahissants. Il fallait alors que je garde la tête froide pour réussir l'objectif ultime, deux jours avant de partir en vacances d'été : LE PERMIS. Ca fait quand même presque 4 ans que je cours après, et à 20 ans, il était temps de le passer, mais surtout, de l'avoir. L'examen s'est très bien passé, je suis sortie légère comme une plume. Et le lendemain, la réponse est tombée : J'ÉTAIS REÇUE ! J'AVAIS MON PERMIS! Voilà comment s'est terminée mon année. Lorsque d'autres passaient leur bac, BTS ou autres, moi je passais mon permis, point final de mon année, objectif dans lequel je mettais énormément d'espoir. 

Alors certes, je n'ai pas fais autant de progrès en art que je le voulais, j'ai aussi délaissé la côté technique.. Mais au final, je n'en avais plus autant l'utilité car mon but avait changé. Entre-coupez cela de séries, de moments familiaux, de petits voyages ici et là, de découvertes artistiques, musicales et cinématographiques, quelques moments de doutes et de stress, et vous avez mon année. Je voulais aussi voyager à Londres et à Berlin, mais l'argent n'était pas au rendez-vous.

En une année, j'ai donc eu mon code, une formation, un bon score au TOEIC, un appartement et mon permis. Tout ça avec le soutien de ma famille, mes amis et mon amoureux. Cette année m'a permit de mieux construire mes projets scolaires et professionnels, et prendre un peu de recul sur la vie, sur MA vie. Ça m'a évité de plonger tête baissée dans une formation qui ne me correspondait pas, sans réelle finalité. 


Petite sélection de livres qui reflètent mon parcours scolaire

Aujourd'hui, ça fait presque un mois que j'ai repris les cours, et j'en suis ravie. Il y a beaucoup de nouvelles choses à apprendre et à intégrer, mais ça me stimule. J'adore apprendre et j'ai toujours aimé aller à l'école (sauf pour les matières scientifiques ahah). Je bois les paroles des intervenants, je suis captivée. Les cours sont tous plus passionnants les uns que les autres, et je ressors de l'école en ayant appris quelques chose, et ça, c'est un super sentiment. 
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En espérant que vous avez tout lu cet article vous a plu,
 je vous dis à bientôt ! 

J'ai tellement de choses à dire, il faut que je trouve
un petit peu de temps pour poster un article correct !

Je serais ravie de lire vos commentaires :  
si vous aussi vous avez fait une année sabbatique, ou si vous pensez en faire une.
 Ou même tout autre chose :)


♫ Ce qui m'a accompagnée durant cet article : 
L'electro aux sonorités dépaysantes de Fakear


jeudi 18 septembre 2014

BONNE ADRESSE SUCRÉE • Cup N' Cake à Toulouse

Les cours ont repris depuis une semaine, avec leur lot de découvertes. Je me suis fait de nouvelles amies, et j'ai hâte de leur faire goûter mon péché mignon : les cupcakes.Cela fait un petit moment que je voulais faire un article sur ma cupcakerie Toulousaine préférée, j'ai nommée Cup N' Cake. J'ai enfin pu réunir assez de photos et d'avis pour vous faire partager mon expérience gustative !

Je m'excuse pour la qualité des photos qui pour la plupart viennent de mon portable, mon appareil n'étant pas toujours avec moi !



Lorsque j'ai découvert les vrais cupcakes il y a quelques mois de cela, j'étais plus souvent à Paris qu'à Toulouse.J'ai voulu découvrir le must des cupcakeries parisiennes, et un nom revenait sans cesse : Berko. Lorsque je vous parle de "vrais" cupcakes, ce ne sont pas les industriels que l'on peut trouver chez Disneyland Paris (ma première et mauvaise expérience), ou ceux dont le topping est tellement bourré de sucre que cela en devient écoeurant. Berko, avec leurs vrais cupcakes, m'a fait retomber en enfance. J'avais l'impression de manger du rêve. Je voulais donc absolument retrouver cette sensation dans ma future ville d'adoption (gourmande que je suis). Et c'est grâce au city guide Toulousain "Le petit Tou" que j'ai découvert Cup N' Cake, situé dans la rue Jules Chalande, pas très loin du Capitole.


La première fois, j'ai commandé un Red Velvet, le classique; et un cupcake 3 chocolats, accompagnés d'un "Nutella One", une sorte de chocolat chaud avec du Nutella, LA boisson phare de l'établissement. Je n'ai pas été déçue. Autant par la taille des cupcakes, qui sont en "grand" format (et non pas moyen comme chez Berko), le prix, l'accueil, le goût et l'établissement en lui même.





La boutique est fraichement rénovée, elle propose une terrasse durant les beaux jours. Une grande salle à l'allure de cave aménagée se trouve au sous-sol, avec expositions changeantes, lumière accueillante et canapés moelleux. Ce fut vraiment une surprise de découvrir cette salle (au bout de plusieurs visites) car au final, cette boutique est pleine de surprises ! 






Citron meringué et Vanille pour mon amie, Red velvet et Fruits rouges pour moi ! 


Framboise et Red velvet

Le Red Velvet est à tomber, et tous les cupcakes aux fruits rouges (fraise, framboise, fruits des bois..) sont divins. Ce n'est pas trop sucré, juste ce qu'il faut. Les produits sont frais, et les recettes originales. Vous voulez un cupcake au Petit Ourson ? Ils en font ! Carambar ou beurre de cacahuète ? Demandez-leur ! 

Sur place ou à emporter, ils font aussi du salé pour le midi et proposent des formules incluant du salé et un cupcake.




Les bons plans Cup N' Cake 


Parce qu'il n'y a pas de petites économies : ils proposent aussi une carte de fidélité, qui donne droit à une pause gourmande. 

Un petit encart de la vitrine est réservé aux cupcakes "anti-gaspillage" : ce sont les cupcakes de la veille, à 2€ au lieu de 2.75€, testé et approuvé! 





A chaque fois que j'y vais je ne suis pas déçue, j'en ai même offert pour un anniversaire !




Cup N' Cake Toulouse, 

4 rue Jules Chalande
Site Internet
Facebook

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J'espère que cet article vous a plu, je vous souhaite une bonne reprise et portez vous bien ! 




♫ Ce qui m'a accompagnée durant cet article : 
La dub Bretonne de Stand High Patrol

lundi 25 août 2014

SORTIE / CULTURE • Expos à Paris

Je suis partie une semaine en Picardie, la région où j'ai grandi, pour voir ma famille et mes amis. Etant à moins d'une heure de Paris en transports, j'ai consacré une journée à ma culture. Paris est connu pour être une ville en perpétuel mouvement, "il y a toujours quelque chose à voir ou à entendre", et bien oui. Il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses. J'ai donc fait 3 expos : L'art fait ventre, Recto-Verso : 8 pièces graphiques et Les années 50, la mode en France. Je vous laisse découvrir mes impressions !


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L'art fait ventre, jusqu'au 20 septembre



"Cette exposition nous invite à s'interroger sur notre engouement pour la cuisine et la façon dont on la perçoit."


 Différents artistes s'emparent de la nourriture et de ce qu'elle représente afin de changer de regard, d'en avoir une autre appréhension. La nourriture fait partie des codes sociaux, ne dit-on pas " nous somme ce que l'on mange " ? 


Une exposition intéressante dans les moyens plastiques ainsi que les mediums utilisés qui sont très divers : vidéo, sculpture, peinture, installation, performance... J'ai particulièrement aimé la vidéo de Stéphane Soulié " Nature morte vivante de légumes avec chrysalide". Le principe est simple : une vidéo rassemblant 3765 photos d'une nature morte de légumes, et ce, sur 119 jours. La vidéo dure 1'35, mais c'est l'oeuvre devant laquelle je suis restée le plus longtemps. Je trouvais fascinante la façon dont les légumes se décomposaient, et toute la vermine qui se jetait sur cette chair pourrie. L'image est belle, nette. Le contraste saisissant entre les légumes tous justes cueillis, leurs couleurs flamboyantes, qui périssent petit à petit, jusqu'a devenir noirs, gris, et représenter alors, littéralement, une nature morte.

Il y avait aussi en vrac : une vidéo sur l'histoire d'une huile de friture ET de carburant (beurk), l'aspect social de la nourriture, nos réels besoins nutritifs, les dérives des industriels... Tout ça rejoignant bien sûr une réflexion sur la société, et l'être humain en général.

















Quelques artistes présents : Gilles Barbier, Pilar Albarracin, Martine Camilleri, Isabelle Dufau



l'Adresse, Musée de la Poste
M° 4, Montparnasse-Bienvenüe
Gratos ! 



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Recto-Verso, 8 pièces graphiques, jusqu'au 9 novembre



"Les Arts Décoratifs invitent 8 graphistes français contemporains. L’exposition interroge la problématique du rapport des travaux réalisés dans le cadre d’une commande et ceux réalisés à titre personnel et par là même entre beaux-arts et arts appliqués. Le designer graphique est-il un technicien de la communication ou davantage un artiste ? "



Arrivée dans la luxueuse fourmilière qu'est le musée du Louvre, je me dirige vers le Musée des Arts Déco, un endroit où je suis souvent allée durant mes études (et où j'ai eu de gros fous rires, mais bon, passons). Je pensais devoir payer 8,50 en tarif réduit, mais non, j'ai moins de 26 ans ! Hop, un petit tour au vestiaire pour déposer ma veste (toujours gratuit), je monte au 3ème étage, et pénètre dans la partie réservée à l'exposition. 

"8 pièces" donc. Chacune réservée à un graphiste. Et bien de toutes les pièces, je n'en ai saisi qu'une seule. Oui, j'ai fait près de 5 ans d'études en arts, dont 2 en arts graphiques. mais non, je n'ai pas saisi toute la valeur de leurs travaux. Ai-je perdu mon sens graphique ? Ou tout simplement je n'ai pas été assez "touchée" par leurs réflexions? Réflexions qui d'ailleurs m'ont totalement échappé. La mise en scène des travaux était assez intéressante, l'espace était bien utilisé. Mais malheureusement, je ne pourrais pas vous dire un avis positif sur cette exposition car en fait, j'ai été déçue. Et même les explications placardées au mur sans réelle concordance avec les dites pièces ne m'ont pas convaincues. J'ai pris quelques photos (je me suis apercue trop tard que c'était interdit ahah) et j'ai passé mon chemin. 
J'avais choisi d'aller voir cette exposition car la limite entre beaux-arts et arts appliqués est toujours une source de questionnements dans le monde graphique. Je me sentais réellement concernée par le match travaux perso Vs. commande pro. Au final, je n'ai pas vu ou saisi ces deux rapports dans cette exposition, et cela ne m'a pas éclairée du tout. La seule pièce qui m'a bien plu est celle avec les flippers géants, avec tous les travaux d'un graphiste à l'intérieur. Voila voila.


Artistes présents : Akatre, Jocelyn Cottencin, Helmo, Christophe Jacquet, Fanette Mellier, 

Mathias Schweizer, Pierre Vanni et Vier5

Je n'ai pas mis de photos, même si  j'en ai pris quelques une, car je ne veux pas avoir de problèmes avec les droits d'auteur des graphistes...



Musée des Arts Décoratifs, 
M°1 Palais Royal-Musée du Louvre, Pyramides
Gratos pour les -26 ans 

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Les années 50, la mode en France, jusqu'au 2 novembre



"Dans les année 1950, couture et prêt-à-porter sont non seulement l'un des premiers secteurs économiques en France mais aussi un laboratoire de la mode. C'est l'âge d'or de la haute couture et Paris regagne son titre de capitale mondiale de la mode."



Me voilà à la fin de ma journée culturelle. Après avoir passé quelques minutes à marcher dans la rue Rivoli, en hésitant longuement entre passer "vite fait" chez Forever 21 ou manger un cupcake chez Berko, je me suis finalement plus ou moins perdue et le temps m'a rattrapée. J'arrive devant le Palais Galliera, et là, surprise : un très bel établissement, avec des colonnes ornant une cour intérieure. Mais la vraie surprise c'était : LA QUEUE. Je n'ai jamais eu à faire la queue pour voir une exposition, et de voir tout ce monde m'a confirmé que OUI, c'était l'expo à voir. Les visiteurs sont surtout des femmes, de tous âges: petites filles, ados, jeunes femmes, quadras, et dames d'un âge certain. Quelques hommes, des petits amis ou des papas. Je m'arrête derrière un couple d'une vingtaine d'années. Le jeune homme me toise de haut en bas. Et oui, jeans, skate shoes et t shirt coloré avec des cavaleras, c'est pas ce qu'il y a de plus commun dans une expo mode. Bref, je ne paie que 4€, et je m'engouffre enfin dans l'exposition. 

Enfin... je me demande comment j'ai fais, car dès le début, il y a beaucoup de monde. La chaleur se fait sentir. De grands panneaux nous expliquent comment la mode des années 50 est arrivée, et pourquoi elle fut un tournant majeur dans l'histoire du textile en général. Les gens se pressent, poussent, s'offusquent. J'arrive à peine à apprécier les pièces présentées, mais ne serait-ce que de loin, c'est très beau. Les coupes, les matières, la façon dont la femme est mise en valeur, c'est recherché, féminin. Les accessoires, les maillots de bains, les bas, la lingerie.. Tout est délicat, élégant avec un soucis de confort. Les robes de soirée sont magnifiques. Je découvre certaines matières que je ne connaissais même pas. Les autres visiteurs ont l'air tout aussi conquis. Des petites filles se trouvent ici et là, accroupies près des pièces textiles, un petit carnet à dessin à la main, et un crayon dans l'autre. Elles croquent les robes, bustiers ou tailleurs. De futures stylistes ? Beaucoup de monde, peu de temps, des pièces sombres et pas beaucoup d'air. La tête commence à me tourner, il est temps pour moi de quitter ce monde un peu bourgeois, et me mêler à la populasse dans le métro. Un petit tweet devant le Palais Galliera, et hop, rdv chez le coiffeur. Et cette expo, j'irais bien la revoir, elle vaut vraiment le coup. 
Les photos étaient interdites (je l'ai bien vu cette fois ci!) donc je vous propose de regarder cette petite vidéo qui présente l'exposition.

Créateurs présents : Jacques Heim, Chanel, Schiaparelli, Balenciaga, Jacques Fath, Pierre Balmain, Christian Dior, Jacques Griffe, Hubert de Givenchy, Pierre Cardin...



Palais Galliera, 
M° 9 Iéna , Alma-Marceau
Plein 8 € / Réduit 6 € / 14-26 ans: 4 € / Gratuit - de 13 ans





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Je profite ici pour vous glisser les autres expos parisiennes qu'il me plairait d'aller voir :

"Tatoueurs, tatoués", Musée du Quai Branly, jusqu'au 18 octobre 2015
"Tiki Pop", Musée du Quai Branly, jusqu'au 28 septembre 
"Réenchanter le monde", Cité de l'Architecture, jusqu'au 6 octobre
"De Watteau à Fragonard, les fêtes galantes", Musée Jacquemard André


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Cet article est à présent terminé, je vous dit à très bientôt,  car j'ai vraiment beaucoup de choses à vous raconter ! Passez une bonne fin de vacances :)



♫ Ce qui m'a accompagnée durant cet article : 
La pop acoustique de Ben Howard avec "Every Kingdom"
La pop déjantée de Lady  Gaga et son album "The Fame"




samedi 2 août 2014

MODE / BEAUTÉ • Mon butin des soldes

Et voilà, après des semaines de frénésie dans les magasins, la période des soldes est terminée, laissant place aux promotions, fin de soldes et pièces défectueuses. Les vendeuses peuvent enfin prendre leurs congés, et les rues se vident. Nous sommes le 2 août, et je peux vous dire que les rues commerçantes de Toulouse sont presque désertes ! C'est encore plus agréable de découvrir la ville sans la foule. 
    J'en profite pour vous dire que je suis enfin totalement installée, la box Internet aussi. Du coup, je peux poster plus fréquemment. Il en est de même pour les photos. Mon appartement est parfait pour ça: de la lumière, de l'espace, des murs neutres... J'ai beaucoup de choses à vous faire partager !

Cessons le blabla, je vous présente dans cet articles les quelques trouvailles que j'ai pu dénicher durant les soldes. Les prix sont approximatifs, étant donné que pour la plupart je n'ai pas gardé les étiquettes (en vacances, je ne pense plus à rien, oui oui.)




Commençons donc par ma pièce coup de coeur de cet été, ma robe !

Dénichée chez Wap Doo Wap à Toulouse, une petite boutique remplie de robes pin-up, fringues gothiques et alternatives. Je m'y rends souvent car on y trouve des marques telles que Hell Bunny, dont j'adore les manteaux. 



 Cette robe, je l'ai tout de suite adorée, le blanc cassé, les insectes représentés sous forme de croquis scientifiques (je crois que c'est ça, non ?), et surtout : LA COUPE ! Dans mon armoire, je ne compte plus le nombre de robes pin-up qui s'amassent, mais celle-ci, elle à LE truc qui m'a tout de suite plu.






De plus, elle est très bien taillée, qui veut dire que ma poitrine généreuse n'a eu aucun mal à se glisser dedans et s'y sentir bien. Pas de décolleté pigeonnant, ni de volumes écrasés, une vraie merveille. 




 Le petit plus qui plaira aux filles bien en formes : un élastique dorsal permet de ne pas se sentir à l'étroit et s'adapte ainsi à la silhouette.












Robe "Chloe" - JAWBREAKER, chez Wap Doo Wap Toulouse, 
37€ en soldes (je crois)


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Dans l'article précédent, je vous parlais de mes vacances sur la côte Landaise, et de ma virée shopping à Labenne,chez SB3. Là-bas j'y ai trouvé une paire de baskets à talons qui me titillait depuis un moment : les Vans Sk8-HI Wedge ! 



Confortables comme des baskets, mixées à la féminité du talon caché, elles sont parfaites pour un look féminin et sportwear. J'avoue que je suis pas fan de la version originale des Sk8 -HI, mais le talon sublime la chaussure et la rend plus harmonieuse à mes yeux.


Baskets à talons "Sk8-Hi Wedge" - VANS, chez SB3, 54€ au lieu de 90€

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Passons aux accessoires à présent ! Dans ce petit coin de paradis que sont les Landes, j'ai trouvé un tote bag DC Shoes à un prix défiant toute concurrence. En plus, ce n'est pas un tote bag ordinaire, jugez par vous-même ! 




 J'ai adoré le mélange de matières et de couleurs. Les petits clous donnent un touche rock n' roll à ce tote bag qui n'est pas aussi sage que ces semblables. Le logo est là pour "finir" le sac, c'est un beau "point final", le détail qui fait la différence. 




Tote Bag - DC SHOES, 10€ au lieu de 29€



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En flânant dans Toulouse avec un amie, je suis tombée sur la boutique Mango Touch. On pouvait y trouver différents accessoires de la marque. Des chaussures au bandeaux pour la tête en passant par les sacs, le choix était large. Et je suis tombé sur ce joli sautoir, avec un pendentif représentant une ancre cernée d'un coeur. Oh c'est beau, oh c'est joli. Le prix aussi est joli!


Sautoir - MANGO, chez Mango Touch, 6,49€ au lieu de 12,99€

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On passe ici à la rubrique beauté. Toute petite cette rubrique car je n'ai pas fait beaucoup d'acquisition. J'attendais de recevoir ma première Birchbox pour vraiment me fournir en produits de beauté. 

Voici donc une palette d'ombres à paupières, avec des tons assez chauds, dans un camaieu de bruns. Je ne les ai pas encore testés, mais je pense déjà que je vais acheter une base pour fards à paupières car ceux de Kiko ne tiennent pas forcément très bien. Cela fait longtemps que je recherchais ce type de palette, à défaut d'une Naked 2 ou 3 (si Papa Noël ou mon amoureux me lisent, on ne sait jamais ahah)




Palette d'ombres à paupières " Addictive Song 02", Street Fashion Collection - KIKO, 7€ au lieu de 14€ (un truc du genre) 

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Bonnes vacances, profitez-en bien :)


♫ Ce qui m'a accompagnée durant cet article : 
Le rock mélodieux de Biffy Clyro avec "Opposites"
La pop mélancolique et envoutante de Lana Del Rey et son album "Born To Die "